« La température va grimper… »
« Voici un moment très attendu… »
« Place au glamour… »
Toutes ces expressions ont été considérées comme trop “suggestives”.
Ă€ la place, il devait employer un vocabulaire neutre :
👉 “élégance”, “assurance”, “dynamisme”.
Pour beaucoup, cette censure a donné l’impression d’un concours “aseptisé”.
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🎤 Une présentation des candidates qui choque
Autre nouveauté très critiquée : la nouvelle manière d’annoncer les candidates.
Au lieu de la traditionnelle présentation sobre, les participantes devaient crier leur nom et leur région dans un micro, un procédé inspiré de Miss Universe.
Cette scène a provoqué une vague de réactions :
des internautes ont parlé d’un “moment gênant”,
d’autres ont trouvé cela “agressif” et “peu élégant”,
plusieurs téléspectateurs ont estimé que cela ne correspondait pas à l’esprit de Miss France.
Pour beaucoup, ce style ne colle pas à l’image classique et distinguée du concours.
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📉 Un public divisé : modernisation ou défiguration ?
La France se retrouve partagée entre deux visions du concours :
🔹 Ceux qui applaudissent la modernisation
Ils estiment que Miss France doit Ă©voluer avec son Ă©poque,
mettre en valeur les femmes autrement,
et réduire toute forme de sexualisation.
🔹 Ceux qui dénoncent une perte d’identité
Ils reprochent à l’organisation :
d’effacer le charme historique du concours,
de copier des formats Ă©trangers,
de transformer Miss France en spectacle trop “politiquement correct”,
de priver l’émission de son authenticité.
Certains vont jusqu’à dire que Miss France 2026 est “méconnaissable”.
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🛡 La justification des organisateurs
Selon le comité Miss France, ces changements sont nécessaires pour :
protéger les candidates,
adapter le concours aux normes modernes,
éviter les remarques déplacées,
rendre l’événement plus inclusif et plus respectueux.
La direction affirme vouloir créer un concours qui reflète mieux “les valeurs contemporaines”.
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📌 Conclusion : Une édition qui marquera l’histoire
Miss France 2026 restera dans les mémoires non seulement pour sa reine de beauté, Hinaupoko Devèze,
mais surtout pour la profonde transformation du concours et le débat national qui en a découlé.
Entre modernisation et perte d’âme,
révolution nécessaire ou excès de précautions,
le débat reste ouvert — et risque de continuer encore longtemps.
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