Edouard Philippe a raison, le risque d’une République réduite à l’état liquide est réel

A chaque tentative de cure, de replâtrage, ou de chimiothérapie, le corps de l’Etat (budget, sécurité sociale, éducation…) se défait un peu plus, les os ploient, les muscles – qu’ils soient ceux d’Attal, Barnier ou de Bayrou – perdent en force, s’atrophient à mesure que les verbes des bons docteurs enflent de promesses superlatives.

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