Après une séparation douloureuse en 2011 et l’officialisation du divorce l’année suivante, Adriana retrouve le sourire auprès d’Aram Ohanian, un richissime homme d’affaires. Avec lui, elle endosse le plus beau rôle de sa vie en devenant maman pour la première fois avec l’arrivée de la petite Nina en 2018. Mais là encore, le conte de fées prend l’eau et le duo rompt en 2022. Les échecs n’empêchent pas pour autant Adriana de continuer à croire en l’amour. Et pour cause, elle vit aujourd’hui une belle histoire avec Marc Lavoine.
En couple depuis l’adolescence
Lorsqu’il s’agit d’exprimer ses sentiments, Adriana Karembeu y va franco. Dans son livre Je viens d’un pays qui n’existe plus publié en 2014, cette dernière se livre à cœur ouvert et évoque divers sujets dont celui de l’amour. L’occasion d’apprendre que l’ex-mannequin a été en couple depuis l’âge de 15 ans. "Il n’y a jamais eu de pause", dévoilait-elle dans un entretien accordé au Journal du dimanche lors de la sortie de son ouvrage.
Au détour de cette interview, Adriana en avait profité pour revenir sur sa première idylle avec un certain Roman. "Un très beau garçon de 1,92 m. Il portait une immense cicatrice sur la joue, ce qui ajoutait encore à sa beauté", se souvient-elle. Malheureusement, cette romance n’a pas tenu : "Il a refusé de me suivre à Prague. La dernière fois que je l'ai vu, c'était en 1996. Ma mère le croise parfois. Il a sa petite famille. Il prend de mes nouvelles".
Adriana Karembeu dévoile ce qui l’agace chez un homme
Pour pimenter un peu sa vie à deux, Adriana Karembeu n’hésite pas à incorporer une dose de jalousie. "Une saine dose de jalousie me paraît normale dans un couple. J'aime bien faire des petites crises pour tester mon mari, voir jusqu'où il est capable d'aller pour se défendre. Mais c'est un jeu", fait-elle encore savoir.
Questionnée cette fois-ci sur son appétence des hommes qui se battent pour conquérir le cœur d’une femme, là encore Adriana Karembeu ne mâche pas ses mots. "Ah, oui ! Rien de pire qu'un homme indifférent", s’exclame la sculpturale blonde. Une remarque que Marc Lavoine a dû garder en tête au moment de lui faire la cour.