Ces symptômes, propres au variant "Frankenstein", se situent donc dans la partie supérieure des voies respiratoires. Dr Peter Chin-Hong, expert en maladies infectieuses à l'Université de Californie à San Francisco (UCSF), apporte quelques précisions dans le média américain SFGATE : "Cela contraste avec les symptômes plus généraux comme la toux, la fièvre ou la fatigue souvent associés aux variants antérieurs".
Autrement dit, si vous remarquez un de ces signes distinctifs du variant "Frankenstein", notamment une voix rauque, que ce soit avec ou sans mal de gorge, il est important d'en suivre l'évolution. Une consultation chez votre médecin s'impose dès lors que les symptômes persistent depuis plus d'une semaine. Bien évidemment, en parallèle, les gestes barrières restent de mise pour limiter la contamination. Le port du masque et un lavage régulier des mains doivent être adoptés dès l'apparition des premiers symptômes.

Limiter la propagation du variant “Frankenstein”
Inutile pour autant de céder à la panique. Malgré un nom quelque peu inquiétant, "Frankenstein" reste un variant hybride, c'est-à-dire résultant de la combinaison de plusieurs variants, mais plus contagieux que dangereux en soi. En effet, bien qu'il soit classé comme un "variant à surveiller" par l'OMS, il n'est toutefois pas considéré comme dangereux par les autorités de santé.
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